Makiranol a des étoiles plein les yeux avec le roman Nos étoiles contraires

Aujourd’hui, Makiranol vous parle de Nos étoiles contraires, ce livre qui caracole en tête des ventes en ce moment avec plus de 600 000 exemplaires écoulés.

Makiranol – Nos étoiles contraires

Nos étoiles contraires est un roman destiné aux jeunes adultes de l’écrivain américain John Green, publié en France au éditions Nathan. Il raconte l’histoire de deux adolescents, Hazel Grace Lancaster et Augustus Waters, atteints de cancer. Makiranol vous livre les confessions de Cécile Charvet, directrice éditoriale de Nathan pour vous démontrer à quel point ce roman est formidable!

Pourquoi vous devez ABSOLUMENT lire ce livre?

1. C’est le meilleur roman d’un excellent auteur

Nos étoiles contraires se distingue par une qualité d’écriture supérieure à la moyenne pour un roman jeunesse.

« Ce livre confirme que John Green est un auteur fabuleux et ce livre est sans conteste son meilleur. »

2. Une oeuvre originale qui parle à tous 

L’histoire du livre est forte, mais les enjeux aussi, selon l’éditrice:

« Les questions sur la vie, la mort, les choix qu’on est amené à faire et le sens qu’on peut donner à sa vie. Des sujets qui concernent tous les adolescents, car ils sont universels. »

3. Un cas unique dans la production jeunesse

Différenciés des derniers gros succès comme Harry Potter, Divergente, Twilight, ou encore Hunger games, Nos étoiles contraires n’a pas pour vocation de susciter une suite. « Il y aura des suiveurs », prédit tout de même Cécile Charvet, « mais on ne pourra pas le copier. »

4.Un livre que l’on aime partager

« C’est un roman contemporain qui raconte une histoire de gens comme vous et moi. Quand on le lit, on veut le partager! »

Après l’avoir lu, la plupart des jeunes filles l’ont passé à leurs amis ou à leurs parents, qui l’ont adoré à leur tour.

5.Les ventes ont explosé grâce à l’adaptation filmographique

Livres Hbdo a comptabilisé 150 000 exemplaires vendus avant l’été et 450 000 après l’été. Entre les deux, il y a eu la sortie, le 20 août, de l’adaptation américaine du livre au cinéma (et par la même occasion, on vous conseille aussi!)

« C’est vrai que la dynamique des ventes s’est accélérée à ce moment-là, et Nos étoiles contraires était déjà un best-seller avant l’été. »

Alors, vous ne l’avez pas toujours pas lu? Makiranol vous ordonne d’aller l’acheter! (et un conseil, sortez vos mouchoirs…)

Pour des lectures encore plus Makiranol, cliquez ici!

Le coin BD de Makiranol : Un petit goût de noisette

Makiranol s’est évadé dans le monde aux couleurs aquarelles de Vanyda, auteure lilloise de la BD la plus mignonne qui soit : Un petit goût de noisette, parue au éditions Dargaud. Et Makiranol s’en est léché les babines.

Makiranol – Un petit goût de noisette – Vanyda

Un recueil de moments de vies en chassés croisés.

« Quel est le cri de l’ours en néerlandais ? Qu’est-ce qu’un moment parfait ?
Est-ce qu’on meurt tous les soirs pour renaître le lendemain matin ?
Telles sont les questions existentielles que se posent les personnages de «Un petit goût de noisette», chacun à sa manière cherchant dans la rencontre de l’autre, le reflet de ses interrogations, une épaule sur laquelle se poser, ou tout simplement l’amour… Chacun, comme un [lémurien] à la recherche de la plus belle noisette ! »

Corentin, Manon, Barnabé, Éléonore, Aymeric, Margaux, Benoît, Abderrazak, Luna, Marlène, Christophe et Azul se rencontrent, s’enthousiasment, se pleurent. Leurs vies se croisent, des émois naissent, des histoires s’esquissent, les moments passent, fugaces, sans avoir toujours été saisis…

À travers douze personnages et autant de chapitres allant de quelques pages à plusieurs dizaines, Vanyda raconte l’amour. Celui qui va et qui vient, celui qui nous échappe, celui qui arrive trop tôt, ou trop tard, celui qui reste en suspens, celui qui surprend de plein fouet, celui qui se cache, celui qui papillonne, celui qu’on laisse s’envoler à défaut de l’avoir capturé. Il est question de bonheurs, de regrets, d’échanges, de remords, de regards qui s’attardent, de mains qui se frôlent, de ces petits riens qui font qu’une silhouette hante les pensées, qu’un sourire ravive un souvenir. L’auteure n’en dit jamais trop, se contentant d’exprimer les élans du cœur, les pulsions, les peurs, les douleurs et les joies grâce à des dialogues justes et concis, usés avec parcimonie, et une scénographie éloquente, que vient délicatement et subtilement habillé d’une légère mise en couleur à l’aquarelle, propre à chaque protagoniste.

Makiranol – Un petit goût de noisette – Vanyda (extraits)

Certaines histoires sont vraies, d’autres sont inventées. Mais dans chaque récit, Makiranol a retrouvé les souvenirs de sa jeunesse : son amour d’enfance Makila, sa première rencontre avec Makigranola, son premier bisou sur un bananier… Et oui, Makiranol est un grand romantique ! Cette bande-dessinée est à savourer avec un grand chocolat chaud à la noisette (restons dans le thème) emmitouflée dans son pyjama lémurien.

Vanyda : la sensibilité sur papier glacé.

Vanyda est une jeune auteure d’origine franco-laotienne de bande dessinée apparentée au genre de La Nouvelle Manga (la nouvelle vague du manga liant le style japonais au style franco-belge). Elle vit actuellement à Lille (RPZ!) et partage un atelier avec plusieurs auteurs au sein de l’association La malterie. Son style se caractérise par un grand intérêt porté aux relations humaines et sociales liant ses personnages. Sa source première d’inspiration étant l’observation de la vie quotidienne de ses proches, mais aussi des personnes qu’elle croise au détour des rues lilloises. Ainsi, à la lecture de ses œuvres chacun peut se reconnaître. D’une part parce que ses personnages proposent un large éventail d’âges et de styles de vies mais aussi grâce à une mise en page soignée qui invite à l’intimité.

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Makiranol revisite les chefs d’œuvre de la littérature

Makiranol surkiffe les couvertures des plus grands chefs d’œuvre de la littérature parodiées et détournées par Clémentine Mélois, jeune diplômée des Beaux-Arts.

C’est rigolo, c’est fin, c’est plantafin (c’est aussi beaucoup moins fin, on vous l’accorde) mais ça a le mérite d’être original et de ne pas se prendre au sérieux alors feuilletez vite notre diaporama !

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Makiranol te conseille fortement (limite il te balance des cacahuètes) de te rendre sur l’album Facebook de Clémentine pour voir tous les autres détournements des chefs-d’oeuvre de la littérature.

Allez, salut bande de mini makis !